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« Les femmes africaines s’unissent pour défendre nos terres, nos eaux et nos forêts ! » : C’est sous ce thème que se déroule la 3ème Assemblée des Femmes sur le Climat (WCA). La rencontre se tient du 7 au 11 octobre 2024 dans la ville de Saly au Sénégal.

Cet événement majeur rassemble plus de 120 femmes activistes et leaders communautaires venant de 12 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre pour aborder l’urgence de la crise climatique qui frappe durement le continent. Organisée par un Comité de pilotage regroupant des organisations communautaires et leurs alliés, dont Lumière Synergie pour le Développement (LSD, Sénégal), Green Development Advocates (GDA, Cameroun), Kebetkache Women and Development Resource Centre (Nigeria) et WoMin African Alliance, cette réunion s'inscrit dans la continuité de deux rencontres fructueuses tenues en 2022 et 2023, respectivement à Port Harcourt et à Lagos, au Nigeria. Ces éditions précédentes ont contribué à renforcer l'engagement des femmes africaines face aux défis climatiques.

Cette année, l'Assemblée des femmes sur le climat vise à renforcer et unifier les luttes des femmes contre les industries extractives polluantes et les fausses solutions à la crise climatique en Afrique de l'Ouest et du Centre. L'objectif est également de proposer des solutions de développement centrées sur les femmes, permettant à celles-ci, à leurs familles et à leurs communautés de vivre décemment tout en préservant leurs moyens de subsistance face à l'aggravation de la crise climatique. En effet, sur le continent africain, les femmes et les filles, souvent en première ligne pour fournir soins, eau et nourriture à leurs familles, subissent de plein fouet les impacts du changement climatique. Malgré ces difficultés, elles se distinguent par leur capacité à apporter des réponses résilientes et déterminantes à cette crise. Actrices clés de l'agriculture durable, du leadership communautaire et de la préservation de la biodiversité, elles jouent un rôle indispensable. Pourtant, leurs voix restent trop souvent marginalisées dans les discussions nationales et internationales sur les politiques climatiques. Cela se reflète dans l'incapacité persistante de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et de la Conférence des Parties (COP) à proposer des solutions concrètes, alors même que la planète subit des crises climatiques de plus en plus graves. La 3ème Assemblée des Femmes sur le Climat (WCA) est donc l’occasion pour les femmes et les filles de se lever, de s'organiser et de s’unir pour défendre nos terres, nos eaux et nos forêts. Avec les menaces pesant sur le Bassin du Congo et l'Amazonie, le WCA de cette année se révèle être un espace organisationnel crucial pour les femmes et les communautés africaines, à l'approche de la COP29 qui se tiendra en Azerbaïdjan en novembre 2024. 

Tin Hinan et le groupement des femmes Allahou Wallou étaient représentées à la 3ème Assemblée des Femmes sur le Climat (WCA) par Melle Habibou Bandé. En prenant la parole au nom de Tin Hinan et Allahou Wallou, elle a mis en lumière les nombreux défis auxquels les filles et les femmes font face, notamment en matière de sécurité, de changement climatique et de protection de l'environnement. Habibou Bandé a exprimé le souhait que ces filles et femmes puissent bénéficier d'un renforcement de leurs capacités en micro finance.

Elle a également mis l’accent sur le besoin de solidarité avec les femmes et filles déplacées internes et refugiés du Sahel (Burkina Fao, Mali, Niger et Mauritanie). C’est femmes et filles ont aussi besoin de soutien morales et psychologiques, afin qu'elles puissent devenir une relève efficace.

En rappel, l’Assemblée des Femmes sur le Climat (WCA) 2024 est un espace permettant aux femmes africaines de partager leurs expériences, de développer des stratégies, de mener leurs luttes de manière solidaire et de plaider en faveur d’actions climatiques transformatrices et d'alternatives de développement durables et respectueuses de l'environnement.

Equipe de communication

Tin Hinan

 

The first regional consultative meeting of the West African branch of the Indigenous Peoples' and Local Communities' Alliance for Conservation in Africa (AICA) has started. Hosted by Forest Watch Ghana (FWG) and Civic Response, the meeting was coordinated by Petter Osei Owusu, Regional Focal Point for AICA West Africa, and his colleague from the AICA Africa Executive Committee, Mrs. Saoudata Walet Aboubacrine.

Colleagues from AICA Southern Africa, CLN, which hosts the secretariat, and IMPACT, a sister organization and Focal Point for East Africa and a founding member of AICA, also lent a hand to their West African brothers and sisters to ensure the success of this first AICA sub-regional meeting.

Over three days, from September 11 to 13, 2024, in Accra, participants from 16 West African countries discussed their shared passion: the protection of Mother Nature. They also exchanged views on the governance structure of AICA at the global level and agree on a self-organized network for the West African sub-region, which will support the implementation of the Kigali Call to Action of the African Protected Areas Congress (APAC), the APAC Indigenous Peoples’ and Local Communities (IP&LC) strategy, and the Namibia Community Communiqué.

On the first day, the session began with a traditional blessing of the meeting. This was followed by the singing of the Ghanaian and African Union anthems. Albert Katako, Program Manager of Civic Response, delivered the host’s welcoming remarks, setting the tone for the discussions.

Malidadi Langa, President of AICA, presented the mission, goals, objectives, and achievements of the project. Following him, Professor Alfred Yeboah, President of the West African Biodiversity and Ecosystem Services Organization and former Vice President of the Bureau of the Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES), took the floor. He emphasized the importance of supporting the initiatives of local communities and Indigenous peoples, stating that they are the main guardians of nature, the holders of knowledge on biodiversity, and possess strategies for adapting to climate change and conservation practices. He further noted that these communities face several challenges, including the legacy of colonization, insecurity, instability in many West African countries, and the difficulty of accessing adequate funding.

After his speech, Saoudata Walet Aboubacrine, Secretary-General of Tin Hinan and member of the AICA Executive Committee, opened the debate on the challenges of conservation and possible solutions. The representatives of West African countries eagerly listed their difficulties and made recommendations.

As a reminder, the Indigenous Peoples' and Local Communities' Alliance for Conservation in Africa (AICA), established in 2023, is a pan-African network that brings together networks of Indigenous Peoples and Local Communities (IP&LC). Its aim is to amplify the collective voice and action of Africa's IP&LCs to address common issues related to conservation.

Tin Hinan Sahel Editorial Team

la première réunion consultative régionale de l'Afrique de l'Ouest de l'Alliance des peuples autochtones et des communautés locales pour la conservation en Afrique (AICA) a eu lieu du 11 septembre au 13 2024 a Accra, Ghana . Cette réunion a été organisé par Forest Watch Ghana (FWG) et Civic Response, la rencontre a été coordonnée par Petter Osei Owusu, point focal régional de AICA Afrique de l'Ouest, et sa collègue du comité exécutif AICA Afrique, Mme Saoudata WALET ABOUBACRINE.

Les collègues de AICA Afrique australe, CLN qui abrite le secrétariat et IMPACT, organisation sœur point focal de l’Afrique de l’Est et membre fondatrice de AICA, membre du CE, ont également prêté main forte à leurs frères et sœurs de l’AOF pour la bonne réussite de cette première rencontre sous-régionale de AICA. 

Durant 3 jours, du 11 au 13 septembre 2024 à Accra, les participants venus des 16 pays d'Afrique de l'Ouest vont discuter de leurs passions communes, à savoir : la protection de la mère nature. Il s’agira aussi d’échanger sur la structure de gouvernance de AICA au niveau global et de convenir d’un réseau auto-organisé par la sous-région d’Afrique de l’Ouest qui soutiendra la mise en œuvre de l’Appel à l’action de Kigali du Congrès sur les Aires protégées en Afrique (APAC), de la stratégie de l’Alliance pour les peuples autochtones et les communautés locales (IP&LC) de l’APAC et du Communiqué de la Communauté de Namibie. 

Pour ce premier jour, la séance a débuté par une bénédiction traditionnelle de la réunion. À la suite de cela, les hymnes du Ghana et de l'Union africaine ont été entonnés, puis le mot de bienvenue de l'hôte Albert Katako, responsable des programmes de Civic Response, a planté le décor des travaux.

Malidadi Langa, président de AICA, a présenté les missions, les buts, les objectifs et les réalisations du projet. À sa suite, le Pr Alfred Yeboah, président de l'organisation Biodiversité et services écosystémiques de l'Afrique de l'Ouest et ancien vice-président du Bureau de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) a pris la parole. Il a souligné l'importance de soutenir les initiatives des communautés locales et des peuples autochtones : selon lui, ces populations sont les principales gardiennes de la nature, elles sont les détentrices des connaissances sur la biodiversité, des moyens d'adaptation au changement climatique et de tout ce qu'il y a à savoir en matière de conservation. Il poursuit en déclarant que ces communautés locales et peuples autochtones rencontrent plusieurs défis, au nombre desquels : les séquelles de la colonisation, l’insécurité, l’instabilité dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest, la difficulté d’accès au financement adéquat.

Après son intervention, Saoudata Walet Aboubacrine, secrétaire générale de Tin Hinan et membre du comité exécutif de AICA, a lancé le débat sur les défis liés à la conservation et les solutions possibles. Les représentants des pays d’Afrique de l’Ouest ont également énuméré leurs difficultés et fait des recommandations. 

En rappel, créée en 2023, l'Alliance des peuples autochtones et des communautés locales pour la conservation en Afrique (AICA) est un réseau panafricain regroupant les réseaux des peuples autochtones et des communautés locales (IP&LC) qui cherche à amplifier la voix et l'action collective des IP&LC d'Afrique pour traiter des situations communes ou questions communes liées à la conservation. 

Équipe de rédaction. Tin Hinan Sahel

Tin Hinan a organisé un atelier d’appropriation de l’initiative « Concilier santé et biodiversité grâce aux savoirs autochtones » et la planification de ses activités, le 22 et 23 juillet 2024. Cet atelier a permis de réunir les acteurs et actrices impliqués pour échanger, se connaître et planifier les premières étapes afin de garantir un ancrage du projet et ses résultats au niveau local et globale.

Il faut noter que Le projet Arramât au niveau global vise à valoriser les connaissances autochtones pour préserver la biodiversité tout en améliorant la santé et le bien-être des communautés.

Une réunion préparatoire a servi de rappel aux représentantes et représentants de la communauté bénéficiaire du projet de la région de Tombouctou, à une formation pour se familiariser avec l’utilisation NTIC.L’atelier principale a eu lieu le 23 juillet.
L’évènement a débuté par la présentation des différents acteurs et les objectifs de l'initiative, permettant ainsi aux participants de mieux se connaître (Les communautés bénéficiaires, les chercheurs et les représentants des institutions étatiques et universitaires)
Nous avons discuté des étapes à venir, notamment la réalisation d'un état des lieux des connaissances des bénéficiaires, les questions d’accès à l’eau. Le renforcement des capacités en nouvelles technologies a également été abordé, offrant aux participants une introduction aux avantages des réunions en ligne et aux outils de communication modernes pour surmonter les défis de déplacement.

Des collaborations académiques ont été envisagées pour approfondir les études sur les plantes médicinales et les produits forestiers utilitaires.
Le chef de site et autres représentants de la communauté bénéficiaire, des représentantes des personnes ressources d’institutions nationales de l’environnement du Burkina et Mali, Secrétaire Générale de Tin Hinan Sahel; Une des chercheur principale et le Directeur Exécutive de Arramat ; 5 membres de l’équipe de mise en œuvre de l’initiative locale de Tin Hinan (Mali et Burkina), ont tous participé activement à la réunion.

Tin Hinan et le Directeur de Aramât expriment leurs gratitudes aux communautés bénéficiaires, aux personnes ressources d’institutions nationales et à chaque participants et participantes pour leur engagement et leur précieuse contribution. Votre dévouement est essentiel pour le succès de cette initiative. Ensemble, nous contribuerons à répondre aux besoins de santé et de bienêtre des communautés autochtones dans un environnement sain tout en préservant la biodiversité.
Restons connectés et engagés pour un avenir paisible et durable !


Tin Hinan Sahel a autrement célébré la Journée Internationale de la femme , en commémorant cet événement avec nos sœurs déplacées de Sakoula.
Sakoula abrite des communautés déplacées, principalement des femmes et des filles venant du Sahel (région du Burkina Faso), ainsi que des femmes et des filles réfugiées du Mali. Ces communautés constituent presque des villages entiers ou des campements.
Parmi eux, on retrouve la communauté de Toukabangou (Ikoubareden), des Peuls, des Sonraï, et bien d’autres.
L'équipe de Tin Hinan, avec Mme Khoumba Gassama de la Fondation Hewlett, a partagé des moments chaleureux et conviviaux avec leurs sœurs et filles du site de Sakoula. Nous avons rencontré les différents groupes de femmes impliqués dans des activités génératrices de revenus, comme le montrent les photos.
Ces activités ont été encouragées et soutenues par l'action du collectif féministe du Burkina "Autonomisation des Femmes Déplacées: Renforcement AGR et Droits", en partenariat avec Woomin, FJS, ainsi que le programme de femmes de Land is Life. Chaque groupe de métier a progressé considérablement en termes de production d'objets et d'articles utiles localement et au-delà. Il reste encore à développer activités et accéder aux marchés.
Nous saluons l'effort de notre sœur Khoumba Gassama, qui malgré la chaleur et l'insécurité, a exprimé sa solidarité envers les mères, sœurs et filles déplacées internes et réfugiées de Sakoula.

Le Burkina Faso a accueilli la première édition du Festival des Féministes du 29 au 31 mars 2023. Organisé par l'IPBF en collaboration avec le Collectif des Féministes du Burkina Faso et pays voisins , l'événement a célébré le rôle des femmes sahéliennes burkinabè. La tente de TIN HINAN a été un espace d'échange culturel où les festivalières ont partagé des expériences, des récits, des connaissances, des danses, des chants, les tenues traditionnelles , créant ainsi une ambiance vibrante et conviviale.

En rassemblant des femmes de différentes origines et horizons, le festival a renforcé les liens entre les communautés et a renouvelé l'engagement en faveur de l'égalité des genres et des droits des femmes. Ainsi, L'événement a été salué pour son caractère inclusif, mettant en évidence l'importance de la solidarité féminine Africaine .

Participation de TIN HINAN et le réseau Femmes pastorale du Sahel en Mouvement

A la cop 27 Charm EL Cheick Egypte du 03 au 19 décembre

Partout dans le monde, les peuples autochtones sont confrontés à des changements climatiques qui ont des effets sans précédent sur leurs terres, leurs cultures, leurs moyens de subsistance et leur mode de vie. Certains conflits sont également causés par la rareté des ressources naturelles comme nécessaire pour la survie des communautés comme l’eau, les pâturages et autres.  

Ils sont parmi les premiers à subir directement les conséquences des changements climatiques, étant donné qu'ils dépendent de l'environnement et de ses ressources et entretiennent une relation étroite avec celui-ci

La résilience au changement climatique est ancrée dans les connaissances traditionnelles des peuples autochtones et leur capacité d'adaptation aux changements environnementaux se fonde souvent sur leur connaissance approfondie de la terre.

Les femmes autochtones transmettent le savoir de leurs ancêtres tout en guidant leurs communautés vers un avenir résilient. Lorsque les femmes autochtones s'engagent, les politiques et actions climatiques à tous les niveaux bénéficient de leurs connaissances et de leur leadership holistiques et axés sur la nature, a déclaré Patricia Espinosa, secrétaire exécutive d'ONU Climat.

Alors que les changements climatiques affectent l'environnement des autochtones, les communautés réagissent et s’adaptent de manière originale. Cependant la situation actuelle d’augmentation vertigineuses des températures et fréquences de catastrophes naturelles comme les inondations dépassent les capacités d’adaptation et d’atténuation de ces communautés.  

Les communautés autochtones à travers le monde ont un rôle clé à jouer dans la lutte contre le changement climatique et dans la réalisation des objectifs climatiques établis par l'accord historique de Paris. Les peuples autochtones n’ont pas seulement droit à l’éducation, mais ils ont aussi des connaissances à échanger, à transmettre aux autres.

Leur prise en compte et participation à l’action climatique ne doit pas seulement être inscrite sur papier mais devenir une réalité.

C’est dans cette dynamique qu’une délégation de   Tin Hinan et des Femmes pastorales du sahel en Mouvement soutenus par ses partenaires techniques et financiers a organisé un panel au pavillon des autochtones le 9 novembre, de 18 :00 à 19 :00 sous le thème : Communautés autochtones et locales : Quel plaidoyer pour une meilleure prise en compte dans l’action climatique et le développement durable ? La délégation a également assisté à des évènements parallèles organisés par la constituante genre, le Forum des peuples autochtone, des évènements organisés par la BAD, le Cylss, les pays du sahel (Burkina, Mali, Niger) et bien d’autres, des sessions de négociations de la cop 27, à l’évènement de haut niveau sur l’action global du Climat du 17 novembre 2022 et au bilan de la participation du Burkina Faso à la cop 27.

Le Département du genre et de la société civile de la Banque africaine de développement a organisé une session sur le thème « Accélérer les investissements climatiques sensibles au genre pour un Sahel résilient » à la COP27 au Pavillon de la Francophonie Zone C, pavillon 8, le 14 novembre 2022, à Charm El-Cheikh, en Égypte.

L'objectif principal de cette session est de fournir une plateforme de dialogue sur les résultats de l'étude régionale sur le profil de genre, de recueillir des observations et des engagements politiques pour la résilience des femmes aux chocs climatiques au Sahel, et enfin de partager les bonnes pratiques au niveau local, national et régional.

Cette session, matérialise l’engagement de la Banque pour un agenda climatique inclusif. Les recommandations, discussions et conclusions, alimenteront les actions ultérieures de soutien à la résilience climatique axée sur le genre au Sahel.

La programme de la session est le suivant :

Allocution d’ouverture : Al Hamndou Dorsouma, directeur par intérim du Département du changement climatique et de la croissance verte, Banque africaine de développement

Présentation des résultats du profil sur le genre et la résilience économique et climatique : Aïssatou Dosso, chargée supérieure genre et innovation, Banque africaine de développement

Panel de discussion : Rasha Abuelhassan, coordinatrice eau et habitat, Comité international de la Croix-Rouge; Sidi Mohamed El Wavi, directeur du climat et de l’économie verte, ministère de l’Environnement et du Développement durable de la Mauritanie; Sylvie Yaméogo, chargée de programme, Alliance pour le biodigesteur en Afrique de l’Ouest et du Centre; Souadata Aboubacrine, secrétaire exécutive de l’organisation sahélienne Tin Hinan.

Modérateur : Samba Fall, expert technique, Alliance ouest-africaine pour les marchés de carbone.

Pour revivre l'évènement, cliquez sur https://epavillon.francophonie.org/programmation/304

Participants à la session tenue Pavillon de la Francophonie Zone C, pavillon 8, le 14 novembre 2022, à Charm El-Cheikh, en Égypte.

https://twitter.com/MAboubakrine/status/1592201104883949569?s=19

Retrouvaille à la COP 27, Egypte 2022 avec son excellence Madame Mary ROBINSON ex-présidente de l’Irlande , ex Haut-Commissaire aux Droits de l’homme et présidente de la Fondation Climat justice. Ce fut un plaisir pour Mme Saoudata ABOUBACRINE, Secrétaire général de l’association TIN HINAN Burkina Faso et Mali de revoir après sa formation/stage  au Haut-Commissariat aux Droits de l’homme des  Nations Unies, Mme Robinson, figure historique  de femme battante et leader.